Voilà maintenant un mois que Rafale a sorti son second maxi "Drive". Du Rock'electro'Roll à sensation qui enchaine vrilles et loopings défiant les lois de la gravité et qui t'envoie quelques G dans la face. La comparaison météorologique marche aussi : "Rafale, ou le vent de fraicheur tant attendu de l'été derrière lequel se cache une tornade". Bref tu l'auras compris Rafale te fait saigner le tympan à coup de mitraillette sonore...
Outre les interminables allusions possibles qu'offre un tel nom de scène, on peut également énumérer une tripoté de remixeurs qui se sont occupés de leur cas : Tepr et Tacteel (pour le précédent maxi "Rock it, don’t stop it") ainsi que Grum, Black Strobe et enfin Tez (sur "Drive"). Bref le duo ne laisse pas indifférent... Je vous propose un petit plateau dégustation en attendant l'album prévu fin 2009.
Rafale - Drive (Tez remix)
Rafale - Drive (Grum remix)
Rafale - Rock it Don’t stop it
Cazals - To cut a long story short (Rafale remix)
Outre les interminables allusions possibles qu'offre un tel nom de scène, on peut également énumérer une tripoté de remixeurs qui se sont occupés de leur cas : Tepr et Tacteel (pour le précédent maxi "Rock it, don’t stop it") ainsi que Grum, Black Strobe et enfin Tez (sur "Drive"). Bref le duo ne laisse pas indifférent... Je vous propose un petit plateau dégustation en attendant l'album prévu fin 2009.
Rafale - Drive (Tez remix)
Rafale - Drive (Grum remix)
Rafale - Rock it Don’t stop it
Cazals - To cut a long story short (Rafale remix)
Cela me permet également de rebondir sur Black Strobe. Il s'agit en fait d'Arnaud Rebotini & Ivan Smagghe. Des gars à l'ancienne, tu sais, ceux qui font la nique aux petits merdeux. On peut dire que Rafale gagne fort en credibility sur ce coup. Le côté dark gonflé à la testostérone vintage, ça envoie du baobab !
Rafale - Drive (Black Strobe remix)J'aurais bien glissé une petite vidéo pour compléter le poste mais la seule que Rafale nous offre est franchement expérimentale, dans le sens pauvre (je ne parle pas de manque de moyens). Alors pour la peine je vais rendre hommage à l'Homme : Rebotini, et finir ce billet à coup de Rock'n'Roll. Oh YEAH !